Il y a deux ans...

Je me prépare tranquillement à souligner l'anniversaire de naissance et de départ de mon fils. Le premier. Celui qui protège son gros Bouddha de frère.

Je suis plutôt exténuée et très émotive cette année. Comme si je voyais tout ce que je ne pourrai jamais vivre avec Julian, en ayant cependant la chance de le vivre avec Laszlo.

Je retourne me cacher dans une grotte secrète.

Tout va bien!

Il y a juste une tornade qui fait la toupie sans arrêt s'il est placé par terre, place tout dans sa bouche: orteil, peluche et dos du siamois compris et gobe tout mon espace-temps.

L'auberge a l'air d'avoir été dévastée par un tsunami force 4, j'aurais besoin d'Adèle Brown femme de ménage et surtout besoin d'un verre de scotch!

Mais tout va bien! Extrêmement bien!

Grand-père Poule ou l'arbre généalogique

Papa poule étant un personnage principal de ce blogue, il me semblait donc opportun d'essayer de comprendre d'une manière anthropologique d'où lui venait cette manière de gérer chaque petit événement quotidien concernant la sécurité de junior comme si c'était un dossier du Pentagone.

Nous voilà donc, l'autre week-end, en visite chez Grand-papa poule. Après un ou deux morceaux de saucisson, de baguette et de vin rouge, Grand-papa poule se lance dans une inspection des vêtements de mon fils.

-Hey, les petits boutons de ses vêtements, à chaque lavage, il faut regarder s'ils sont bien cousus en tirant dessus pour voir s'ils ne vont pas lâcher...

J'ai tout compris en un instant. Les gènes se sont transmis sans faille.

Infopub de la soirée

Pour l'écolo qui sommeille en chacun de nous; j'ai trouvé l'idée super bonne.

On fait attention à nos sacs à l'épicerie, à la SAQ; on discute ad nauseam du plastique mais on utilise, à l'épicerie, (moi ici en premier) les minis sacs de plastique lorsqu'il s'agit de de fruits et

de légumes.

Je vais m'y mettre dès que je les ai sous la main.

Paraîtrait-il qu'on en trouve également chez Déco-Découverte pour pas cher.

On se couche moins niaiseux ce soir?

J'aime découvrir de nouvelles choses. Et c'est avec curiosité que j'ai lu l'histoire de la provenance du Bonhomme sept heures, horrible moron à grandes dents qui mangerait les petits enfants désobéissants.

Le Bonhomme sept heures vient de l'anglais "Bone Setter" communément appelé en bon québécois, le ramancheur. Autrefois, celui-ci passait par les domiciles et offrait ses services. Lorsqu'il réussissait à faire crier le paternel, figure d'autorité, en lui tirant et pressant les membres de tous côtés, les enfants se disaient que ce personnage devait être terrible.

D'où la facilité des parents à les terroriser s'ils n'écoutaient pas, avec cet homme qui devint légende québécoise.