lundi 9 février 2009

Edit***Le cowboy est dans le trouble***

Aujourd'hui, la nouvelle a fait le tour comme une comète de Hale-Bop et a apporté avec elle, son lot de traumatisme, tel que prévu.

Le meilleur étant que Grand-père poule, de descendance espagnole a confirmé à papa poule deuxième génération que le nom prononcé rapidement en espagnol ressemble à "el asno" qui veut dire "l'âne".

Mais comme nous sommes ici dans un Québec francophone, ceci apporte juste une anecdote à l'existence du cowboy qui est déjà digne d'un cirque. N'oublions pas que Noah, dit à haute vitesse câble ressemble fortement à NOIX. Et ça n'a pas empêché ce nom d'avoir été attribué plus de 400 fois en 2007. (réf:RRQPrénoms populaires)

Pour ceux qui veulent savoir comment ça se prononce:Lass-Zlo.

Pour ceux qui veulent savoir où j'ai bien pu prendre cela: Vous avez sûrement oublié mais le prénom du Patient Anglais mystère, film d'Anthony Minghella interprété par Ralph Fiennes était le comte Laszlo Almasy.

Et dans mon livre fétiche (chef-d'oeuvre intemporel), L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon, le personnage Daniel fait la rencontre du comte Laszlo de Cheverny.

Alors, je vous ai tout révélé, je n'ai plus de secret...pour le moment!

3 commentaires:

Taïga a dit…

Les prénoms ne sont qu'une série de lettres qui forme des sons... L'important c'est d'habiter son nom. En plus, lorsqu'il sort du commun ça donne un petit quelque chose de plus. Un charme supplémentaire.

laborantine a dit…

L'ombre du vent...Quel lire. Contente de voir de voir que ça roman vous marqué tout comme moi.

L'aubergiste en devoir a dit…

@ Chroniques & Laborantine: Bienvenue à la Taverne!

@ Chroniques: je suis tout à fait d'accord avec le principe d'habiter ou de vibrer pour un nom. C'est pourquoi, nous ne choisissons jamais comme ça, sur un coup de tête. Oui, il y a eu des idées mais fallait voir si elles convenaient ou pas. J'aimais beaucoup Milo mais avec le temps, on aurait dit que le bébé, lui n'aimait pas ça... :)

Il est noter que ceux qui donnent des noms originaux à leur progéniture sont souvent des gens issus du domaine artistique ou créatif. Donc par ricochet, l'enfant est souvent soumis à un destin plus rebondissant de par la vision des choses des parents. Mais cela, c'est une théorie...

@ Laborantine: depuis que j'aie lu ce livre, je tente de survivre en essayant d'en trouver un autre aussi percutant et c'est chose presqu'impossible. Zafon vient de publier un nouveau livre il y a quelques mois: El juego del angel (Le jeu de l'ange) qui mérite d'aussi bonnes critiques que L'ombre du vent mais n'est pas traduit encore en français. Avez-vous essayé "De l'eau pour les éléphants" de Sara Gruen? Une autre belle découverte...